le 03 mars 2020
L’Indépendant, le 3 mars 2020
le 02 mars 2020
le 23 février 2020
L’Indépendant, le 23 février 2020
le 15 février 2020
Serge Wolikow, historien Professeur émérite des Universités, président du conseil scientifique de la fondation Gabriel Peri.
Le contexte de la formation du parti communiste en France est marqué par la 1ère guerre mondiale ravageant l’Europe et par la crise du mouvement ouvrier international. Au sein du mouvement ouvrier français, comme au plan européen, les minoritaires s’organisent difficilement et font entendre des voix diverses. Dans le parti socialiste français, unifié seulement depuis une décennie, les divisions sont longtemps contenues.
Malgré l’opposition grandissante à la guerre, les réflexes patriotiques persistent. L’impact de la révolution russe dans le socialisme français s’affirme progressivement au lendemain de l’armistice et de la victoire militaire de la France. Le mouvement gréviste connaît un essor considérable en même temps que se renforcent les rangs des organisations ouvrières. La bourgeoisie auréolée de la victoire militaire exalte sans peine le nationalisme pour réduire et marginaliser les mouvements sociaux et remporter les élections. Au sein du parti socialiste les courants favorables à la révolution russe et à l’Internationale communiste sont très actifs mais minoritaires. L’alliance avec le courant dit centriste constitué de socialistes ayant longtemps soutenu la politique de guerre fait pencher la balance en faveur de l’adhésion à la 3e Internationale communiste. Le parti communiste en France nait d’une adhésion majoritaire au communisme alors que la situation politique et sociale n’est en rien révolutionnaire. Comment expliquer ce paradoxe apparent? Quelles en sont les conséquences sur la formation du parti les années suivantes ?
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le 15 février 2020
le 12 février 2020
L’Indépendant, le 12 février 2020
le 06 février 2020
L’Indépendant, le 5 février 2020
le 04 décembre 2019
Le 7 décembre 1938 naissait le premier enfant à la Maternité suisse d’Elne. Pour célébrer ce 80 ème anniversaire, le Département des Pyrénées-Orientales en partenariat avec l’association DAME (Descendants et Amis de la Maternité d’Elne) a souhaité organiser une manifestation au collège d’Elne.
Samedi matin, il s’agira de revenir sur l’oeuvre d’Elisabeth Eidenbenz qui a créé la Maternité d’Elne permettant d’accueillir femmes enceintes et nouveaux-nés dans un endroit hospitalier pendant la Retirada. En hommage à son engagement, une fresque réalisée par Manuel Sierra et située dans l’enceinte du collège sera inaugurée. Le Département, propriétaire du collège, baptisera également une salle du nom d’Elisabeth Eidenbenz à l’occasion de cette commémoration.
Les élèves et équipes pédagogiques présenteront leurs travaux sur les « réfugiées catalanes », une expo réalisée en partenariat avec l’Associació Catalana per la Pau.