le 21 décembre 2012
Le 19 Octobre, nous, militants du Front de Gauche, de la CNL et du DAL, sortions partiellement contents d’une rencontre avec les dirigeants d’ERDF, ces derniers venaient de nous annoncer une suspension hivernale des coupures d’électricité pour les clients d’EDF aidés, soit les bénéficiaires des TPN (tarifs de première nécessité) et les inscrits au FUL, pour les autres personnes en difficultés la menace d’une coupure reste présente.
Dès lors nous relancions auprès du Préfet notre demande de la tenue d’une table ronde afin de faire de cette mesure ponctuelle, un arrêté, voir une loi, cette demande a été renouvelée par Michel Ricoud lors de la venue du Préfet au Conseil Général le 20 décembre.
Ce que nous proposons, c’est l’instauration d’une trêve hivernale des coupures d’énergie aux mêmes dates que pour les expulsions locatives, du 1er Novembre au 31 Mars.
Mais depuis aucune nouvelle du Préfet, aucune mesure gouvernementale… Cette situation a poussé les élus communistes du Loiret à rappeler les militants à l’action le Vendredi 4 Janvier 2013 à 17h devant la préfecture.
Dans ce contexte nous apprenons par les médias, qu’un système malsain s’est mis en place au sein d’ERDF, en effet, les agents effectuant le plus de coupures d’énergie se verraient récompensés. Il est intolérable de faire du malheur des uns, la carotte qui fait avancer les autres. Si ERDF n’est pas en mesure de prouver que ces accusations sont fausses, le Parti Communiste Français condamnera fermement ces agissements, en espérant des sanctions.
C’est encore un exemple qui montre la perversion qui accompagne la privatisation des services publics, et qui plaide en la faveur de la renationalisation de la distribution d’énergie.
Pour l’ADECR Pour le PCF
Michel Ricoud Julien Peron
le 21 décembre 2012
Les Fab labs (pour FABrication LABoratory, laboratoires de fabrication) sont des ateliers ouverts à tous gratuitement et équipés de machines outils de pointe. En 1998, Neil Gershenfeld, professeur au MIT (Massachusetts Institute of Technology) donne un cours intitulé littéralement « comment fabriquer (presque) n'importe quoi ». C'est l'origine des Fab Labs, qui se sont développés jusqu'à former un réseau international. La charte qui définit les Fab Labs insiste sur l'aspect participatif de ces laboratoires : ne pas déléguer, apprendre à faire soi-même. C'est ce qui est nommé le DIY, pour Do It Yourself. Il faut apprendre des autres et transmettre les savoirs et savoir-faire. Le laboratoire et les outils de fabrication numérique sont autant un bien commun que les connaissances, par définition immatérielles. On parle beaucoup des imprimantes 3D, mais ce ne sont pas les seuls outils des Fab Labs : on y trouve des découpeuses laser, des fraiseuses de précision... Et des logiciels permettant à tout un chacun de créer le prototype de l'objet qu'il veut produire.
Les usages des Fab Labs sont de différentes natures. Il y a ceux qui sont investis par des gens soucieux de ne pas gaspiller, de réparer plutôt que jeter : par exemple, reproduire le bouton cassé de sa machine à laver. Ceux qui veulent créer des objets qui correspondent à un usage très spécifique. Ceux qui veulent apprendre et créer – et qui en réalité sont dans toutes les catégories. Mais il y a aussi une autre dimension : dans certains cas, les Fab Labs peuvent permettre de pallier à une absence de production industrielle d'objets jugés peu rentables. Sabine Blanc nous a donné l'exemple du FabFi, réseau WiFi créé en Afghanistan par un Fab Lab local, en collaboration avec d'autres Fab Labs, pour relier un village, un hôpital et une ONG. D'autres exemples existent : citons la mise au point de prothèses de jambe à bas coût, construites à base de matériaux peu chers. Soulignons que l'intérêt du Fab Lab ne se limite pas à produire, mais réside dans la possibilité de concevoir, de créer, d'inventer. Pour Sabine Blanc, les enjeux des Fab Lab sont de deux natures. D'abord, la difficulté à sortir d'un entre-soi numérique : ces ateliers, s'ils sont ouverts à tous, sont ouverts et fréquentés par un public très restreint, du fait entre autre d'un langage spécifique et d'une démarche qui va à l'encontre des habitudes. Deuxièmement, il convient d'être lucide sur l'intérêt actuellement porté aux Fab Labs par les entreprises. Par exemple, Leroy Merlin a tout intérêt à en ouvrir un dans ses magasins ; cela représente un atout pour... vendre les matériaux.
Ces matériaux qui, d'ailleurs, ne peuvent permettre aux Fab Labs de se développer en toute indépendance. C'est là la question qui était au bord des lèvres de bien des membres de l'assistance, et formulée par Yves Dimicoli : les Fab Labs permettent-ils d'imaginer une économie émancipée du marché ? Force est de constater que cet aspect de la question n'est pas à l'ordre. L'ambition de ses promoteurs ne va pas (encore) aussi loin, et là se trouvent pour l'instant les limites de la démarche. Toujours est-il que, comme le souligne Sabine Blanc, les Fab Labs peuvent devenir de « nouvelles MJC », et que cet enjeu seul est déjà très important.
Retrouvez l'article de Sabine Blanc, « Les fab labs en route vers le Grand Soir », consacré à cette rencontre sur le site owni.fr
le 21 décembre 2012
Comme le prix du gaz, le prix de l'électricité augmentera de 2,5% au 1er janvier 2013 a annoncé la ministre de l'Ecologie et de l'Energie, Delphine Batho, soit environ 15 euros par an et par ménage en moyenne.
Se chauffer est devenu un luxe, choisir entre l’éclairage, la cuisine, et les loisirs multimédias une contrainte de plus en plus courante. Particulièrement pour les 8 millions de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté. Pour elles, pas de droit à l’énergie.
Dans le même temps, la facture énergétique de tous les ménages va encore augmenter. Cela nous touchera tous, fragilisant la majeure partie d’entre nous.
A deux jours du début de l’hiver, les parlementaires du PCF et du Front de Gauche réitèrent leur demande d’adoption immédiate de la proposition de loi relative à l’urgence sociale en matière énergétique en faveur des propositions suivantes :
Nous appelons l'ensemble des citoyens à soutenir cette démarche en signant la pétition, premier pas vers la garantie d'un droit à l'énergie pour tous.
Pour signer la pétition, cliquez sur le lien suivant : link
le 19 décembre 2012
Le verdict des patrons de Texas Instrument vient de tomber suite au comité d’entreprise extraordinaire : suppression de 517 emplois sur 541 et fermeture du site de Villeneuve-Loubet.
Il est intolérable de rayer 40 ans d’activité de cette entreprise sur Sophia-Antipolis avec aussi peu d’égard pour les salariés et leur savoir-faire. Hier en conseil communautaire de la CASA, une motion a été votée à l’unanimité pour dire clairement que tous les élus refusaient la fermeture « sèche » du site de Texas Instrument.
Malheureusement le constat est terrible, les patrons de ces grands groupes méprisent totalement les investissements publics dont ils ont pu bénéficier, méprisent considérablement le savoir-faire des salariés qui a participé à leur enrichissement. C’est intolérable !
Le gouvernement Ayrault doit tout de suite prendre ce dossier en main et ne pas laisser encore une fois 517 emplois et autant de savoir-faire disparaître. Comment accepter qu’une entreprise comme Texas Instrument bénéficie des crédits d’impôts du « pacte de compétitivité » du gouvernement et décide de fermer le site de Villeneuve-Loubet.
Nous appelons aussi le gouvernement à considérer l’urgence du vote d’une loi sur l’interdiction des licenciements boursiers.
Cécile DUMAS Secrétaire départementale du PCF06 Conseillère communautaire à la CASA
le 19 décembre 2012
le 19 décembre 2012
le 19 décembre 2012
le 19 décembre 2012
Jeudi 13 décembre, le rassemblement de plus de 50 organisations (associations, syndicats et partis politiques) ont présenté à la presse la pétition demandant au président de la République d’engager le processus de révision constitutionnelle permettant d’instaurer le droit de vote des étrangers pour 2014.
Le Parti communiste représenté par Jacques Chabalier, responsable national à l'organisation, et Isabelle Lorand, responsable nationale aux Droits et Liberté, a confirmé son plein engagement dans cette campagne.
Par la voix de Jacques Chabalier, le PCF a rappelé que cette promesse est faite par la gauche depuis trois décennies.
La loi votée par le sénat le 8 décembre 2011 est maintenant sur le bureau de l'Assemblée nationale. Le gouvernement se doit de l'inscrire à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale rapidement afin que les délais nécessaires à l'organisation de la révision constitutionnelle garantissent ce droit civique essentiel aux résidents étrangers dès 2014.
Si tous les parlementaires de gauche sont fidèles aux engagements qu'ils ont pris devant leurs électeurs, il manquerait 28 voix pour obtenir la majorité des 3/5 au congrès. La gauche n'a pas de quoi avoir peur de son ombre.
C'est une bataille plus que gagnable. Si la droite parlementaire s'arc-boute sur le refus, la gauche doit en appeler à la souveraineté populaire par référendum. La démocratie est toujours une force. Notre peuple l'a souvent démontré dans l'histoire.
Jacques Chabalier a également confirmé que le PCF en appelle aux militants et aux élus communistes pour que partout sur le territoire s'organise, sous toutes ses formes, une campagne de masse et de proximité.
Petition:
Monsieur le président de la République,Nous vous demandons d’engager le processus de révision constitutionnelle permettant d’instaurer le droit de vote et d’éligibilité pour nos concitoyen(ne)s résident(e)s étranger(e)s aux élections locales, dès les municipales de 2014.Cet impératif d’égalité et de démocratie est urgent !>> www.droitdevote2014.org << |
• Associations : Aseca – Lettre de la citoyenneté, Assemblée citoyenne des originaires de Turquie (Acort), Association des Marocains de France (AMF), Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF), Association nationale des élus communistes et républicains (Anecr), Association pour une citoyenneté européenne de résidence (Acer), Attac France, Banlieues actives, Cedetim, Collectif pour l’avenir des foyers (Copaf), Collectif « Votation citoyenne », Conseil français de la citoyenneté de résidence (Cofra- cir), Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR), France terre d’asile (FTDA), Ipam, Les Indivisibles, Ligue de l’enseignement (LE), Ligue des droits de l’Homme (LDH), Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), Ruptures, Solidarité laïque, SOS Racisme, Union des Tunisiens pour l’action citoyenne (Utac).
• Syndicats : Confédération française démocratique du travail (CFDT), Confédération générale du travail (CGT), Fédération syndicale unitaire (FSU), Syndicat des enseignants (SE-Unsa), Syndicat de la magis- trature (SM), Union nationale des étudiants de France (Unef), Union syndicale Solidaires.
• Partis politiques : Europe écologie les Verts (EELV), Front de gauche (Convergences et alternative (CetA), Fédération pour une alternative sociale et écologique (Fase), Gauche anticapitaliste (GA), Gauche unitaire (GU), Les Alternatifs, Parti communiste des ouvriers de France (PCOF), Parti commu- niste français (PCF), Parti de gauche (PG), République et socialisme (RetS)), Mouvement des jeunes communistes de France (MJCF), Mouvement des jeunes socialistes (MJS), Nouveau parti anticapitaliste (NPA), Parti radical de gauche (PRG).
le 18 décembre 2012
Le week-end des 15 et 16 décembre, plusieurs dizaines de milliers de personnes se sont retrouvées dans les rues pour réclamer l'égalité pour les lesbiennes, les gays, les bi et les trans LGBT, à l'appel du collectif Agissons pour l'égalité.
Quinze rassemblements étaient organisés en région le samedi, réunissant plus de 20 000 personnes, et la manifestation parisienne dominicale a fait le plein avec plus de 100 000 participant-e-s.
Ainsi, c'est pour le droit au mariage mais aussi pour l'adoption et la procréation médicalement assistée PMA pour les femmes que l'Inter-LGBT, partis politiques, syndicats, associations féministes, organisations de jeunesse, citoyen-ne-s… ont défilé.
Le Parti communiste français rappelle sa position en faveur du mariage pour tou-te-s sans distinction de genre et demande :
Les parlementaires du Parti portent ces idées et proposent des lois allant dans ce sens, par exemple :
Il paraît normal que des élu-e-s, quelles que soient leur orientation politique, puissent avoir des réticences face à ces revendications, tant notre société est enfermée sur le schéma nucléaire traditionnel de la famille.
Pour notre part, nous nous positionnons pour l'égalité des droits et luttons et lutterons avec pugnacité contre le réveil de la droite conservatrice et de l'extrême droite, soutenues par les autorités religieuses, qui déversent homophobie et violence.
Nous voudrions aussi que François Hollande et son gouvernement adoptent une position ferme en faveur de l'égalité des droits pour les LGBT !
Pour suivre le dossier législatif du projet de loi, cliquez ici. Voir l'étude d'impact dans les documents fournis sur la partie droite de cette page internet.
Pour information, nous vous communiquons les noms des élu-e-s de l'Oise qui ont signifié leur opposition au projet de loi « Mariage pour tous » - ceux qui ont autorisé la diffusion de leur identité. On trouve leur liste sur le site des « maires pour l'enfance ». N'hésitez pas à les interpeller concernant la motivation de leur signature !
Dans le fichier ci-contre, les différent-e-s élu-e-s des conseils municipaux qui ont signé contre le projet de loi et ci-dessous, la liste des maires signataires :
Anserville - Cyrille Marandet
Apremont - Gérard Manoussi
Attichy - Bernard Favrolle
Auchy-la-Montagne - Alain Rousselle
Bacouël - Dominique Cordelle
Bailleul-le-Soc - Yvon Dhamy
Balagny-sur-Thérain - Cécile Bremard
Barbery - Jena-Luc Thibault
Beaulieu-les-Fontaines - François Plevel
Béthisy-Saint-Pierre - Jacques May
Biermont - Francis Mansard
Blancfossé - Gilbert Debraine
Blicourt - Gérard Defrance
Blincourt - Dominique Le Sourd
Bonneuil-les-Eaux - Nicole Cordier
Bonvillers - Vincent Loisel
Borest - Yves Duchesne
Boubiers - Claude Sauvaget
Bouconvillers - Philippel Morin
Breteuil - Jacques Cotel
Bulles - Michel Baert
Cambronne-lès-Clermont - Jean-Pierre Blot
Campagne - Dominique Levert
Chaumont-en-Vexin - Pierre Rambour
Chavençon - Michel Tankere
Chepoix - Dominique Boutin
Choisy-au-Bac - Jean-Noël Guesnier
Choqueuse-les-Bénards - Muguette Verbeke
Cinqueux - Bernard Fricker
Conchy-les-Pots - Yves Lemaire
Cormeilles - Jean-Marie Tallon
Courcelles-lès-Gisors - Alai Frigiotti
Courteuil - Pierre Blanchard
Coye-la-Forêt - Philippe Vernier
Crépy-en-Valois - Arnaud Foubert
Crouy-en-Thelle - Nelly Kerzak
Cuvergnon - Dominique Proffit
Dives - Jean-Pierre Léonard
Éragny-sur-Epte - Didier Masurier
Le Fayel - Édouard De Cosse Brissac
Fresne-Léguillon - Jean-Michel Bouchard
Fresnières - Claude Fournier
Fresnoy-en-Thelle - Denis Courboin
Le Gallet - Jean Grégoire
Genvry - Brigitte Le Sage
Gouvieux - Patrice Marchand
Grandvilliers - Jacques Larcher
Hannaches - Alain Grenard
Hardivillers - Jean-Pierre Randolet
Heilles - Christian Vanparys
La Houssoye - Pierre Pantenier
Jaméricourt - Bertrand Gernez
Labosse - Alain Mauchrétien
Lamorlaye - Didier Garnier
Lierville - Pierre De Chezelles
Longueil-Sainte-Marie - Stanislas Barthélémy
Loueuse - Pierre Des Courtils
Marolles - Guy Provost
Montagny-en-Vexin - Jean-Pierre Gilles
Montépilloy - Patrice Cornu
Montmartin - Patrick Grevin
Morlincourt - Jacques Villain
Mory-Montcrux - Renée Gérard
Mouchy-le-Châtel - Antoine De Noailles-Poix
Muirancourt - Jeannot Nancel
Néry - Claude Picart
Noroy - Pierre Wellecan
Nourard-le-Franc - Yves Marielle
Orny-Villers - Daniel Cokelaere
Ourcel-Maison - Alain Vasselle
Péroy-les-Gombries - Richard Kubisz
Pouilly - Jean-Claude Gentil
Raray - Jean-Marc De La Bedoyère
Reilly - Patrick Desruelle
Remy - Denis Panse
Rothois - Daniel Bisschop
Rouvillers - Nicolas Sainte-Beuve
Saint-Aubin-en-Bray - Michel Mayer
Saint-Étienne-Roilaye - Éric Béguin
Saint-Germain-la-Poterie - Guy Becquet
Saint-Paul - Gérard Hedin
Saint-Vaast-de-Longmont - Micheline Fusée
Saintines - Jean-Pierre Desmoulins
Senantes - Christian Gavelle
Senots - Gérard Lemaitre
Silly-le-Long - Philippe Pernoud
Songeons - François Dumars
Tricot - Jacques Bocquet
Troussencourt - Jean-Pierre Postel
Thury-sous-Clermont - Philippe Bourlette
Valdampierre - Nicole Lopez
Villeselve - Yves Butin
Villers-Saint-Sépulcre - Germain Pestel
Villers-sous-Saint-Leu - Jacques Pinsson
Villers-sur-Bonnières - Denis Deryck
Villers-Vermont - Jean Frérot
le 18 décembre 2012
Photo, reportage audio et texte Antonio Dias in Agora presse
Orléans, 17 novembre 2012 - Comme chaque année à la même époque les associations CNL et DAL, organisent à Orléans, un rassemblement, pour évoquer les problèmes des locataires, et des sans logis.
"Malgré un changement de majorité, on ne peut pas dire, que le terrain "miné" du logement social, devienne une "priorité" de ce gouvernement" affirment en cœur, Michel Ricoud (CNL) et Jean-Claude Meunier(DAL).
"Tout au plus les associations de locataires CNL et le DAL, doivent se contenter de déclarations d'intention, alors que des centaines des milliers de français vivent dans la rue, et n'ont pas accès a un logement faute de moyens financiers ou de travail."
(...) Au bas mot pour reloger tous les français en détresse sociale et donner la possibilité d'accéder a un logement, il faudrait construire au minimum plus d'un million de logements sociaux, mais le manque de courage politique et de décision politique est pour le moins un frein a cette misère qui se propage" surenchéri Michel Ricoud.
Et il poursuit" Alors que nous sommes entrés dans l'hiver, et que la réquisition de logements devient une urgence, comme le souhaitent nos associations, rien n'est fait sinon la promesse d'une loi cadre sobre o logement qui s'elle est mise en œuvre ne verra pas le jour avant peut-être l'automne 2013".
Selon le président de la CNL Orléans "l'urgence et les besoins de logements sociaux, et une loi allant dans le sens des associations, ne fait pas partie du dialogue avec Mme Duflot. Nous avons été écartés et au Ministère personne ne nous appel pour que nous puisons ensemble dialoguer et faire part de nos propositions. Nous sommes encore au temps de la droite" affirment les associations.
Voici le reportage audio agorapress, avec Michel Ricoud (CNL) qu'en dit plus !