le 21 janvier 2013
Samedi dernier, plus de 800 personnes se sont mobilisées dans les rues d'Orléans à l'appel du GAGL 45, du Centre LGBT d'Orléans et des Enfants d'arc en ciel, pour réclamer le droit au mariage et à l'adoption pour toutes et tous et le recours à la PMA pour les couples de femmes.
Les élus et militants du PCF, les jeunes communistes, avec les autres partenaires du Front de Gauche étaient présents dans la manifestation.
Nouvelle manifestation unitaire à Paris le 27 Janvier. Des cars sont organisés au départ d'Orléans (RDV 9h45 devant le Théâtre d'Orléans). Pour vous inscrire vous pouvez le faire en cliquant sur le lien suivant : link
le 21 janvier 2013
le 20 janvier 2013
5°-Un Autre Regard : http://www.gaymulhouse.fr/
6°-Chrétiens Inclusifs :http://carrefour-chretiens-inclusifs.blogspot.fr/
7°-Christianisme Social : http://www.christianismesocial.org/
Source Illustration :
http://www.franceinfo.fr/sites/default/files/imagecache/462_ressource/2012/11/03/790209/images/ressource/mariage_homosexuel_le_projet_15815_hd.jpg
le 19 janvier 2013
Les communistes de Suresnes, bien qu'ils se soient pour le plus grand nombre abstenu et, pour ceux qui ont voté, l'ait majoritairement fait pour un autre texte, apprécient le volontarisme de la base commune Il est grand temps de rallumer les étoiles. Cependant, ils affirment que ce texte souffre de nombreux manques : premièrement, il n'est pas assez précis sur les propositions du parti, et ensuite, le style de sa rédaction le dessert.
Le texte se contente d'aborder d'une façon très générale les points majeurs de nos intentions sans être précis sur les réelles propositions que font les communistes pour mener à bien leurs projets. À trop vouloir se garder d'être un programme, la base commune s'écarte donc d'un véritable texte de congrès, qui rappelons-le, doit être celui qui définira notre ligne politique pendant les trois prochaines années. En effet, il convient (et c'est notre volonté !) de définir tous ensemble, pendant un congrès, nos propositions et non pas de déléguer cette décision à l'exécutif du parti.
Le texte a quelquefois tendance à se perdre en lyrisme, en vaines formules romancées et trop défensives. Il apparaît donc souvent détaché de la réalité comme de la théorie, à trop parler d'austérité plutôt que de capitalisme, à trop vouloir être poétique, à trop bavarder sur l'actualité sans proposer des réformes claires et précises !
La situation a évolué. En France comme ailleurs en Europe et dans le monde, les sociaux-démocrates pensent désormais le capitalisme comme l'horizon indépassable et s'attachent à la recherche d'un moindre mal, tout en se détachant des apports théoriques, en particulier marxistes développés aujourd'hui. Les récents accords, encouragés par le gouvernement, entre le patronat et des syndicats minoritaires participent de cet état de fait. Notre congrès ne peut l'ignorer !
De même, il est dommageable que notre congrès ne clarifie pas notre position sur le Front de Gauche. En parlant de coopérative dans une formulation on ne peut plus floue, le texte laisse ouverte l'idée que celui ci pourrait entrer dans une phase transitoire visant à créer au final un parti à part entière dans lequel viendraient se fondre ceux qui le composent actuellement. Il nous faut aujourd'hui au contraire affirmer l'indépendance de toute les formations et, en ce qui nous concerne, de notre parti. S'il est vrai que le Parti Communiste Français et le Front de Gauche doivent travailler à un rassemblement populaire de toute la gauche, parce que c'est dès maintenant qu'il faut imposer via les luttes nos alternatives radicales et réalistes, cela ne dispense pas de faire de ce Front un rassemblement de partis dont le fonctionnement, l'organisation et la visée seraient totalement dénués d'opacité.
Il faut absolument, et c'est une priorité, enrichir la base commune de propositions majeures, telles que :
la socialisation des entreprises, afin que chacun des salariés d'une entreprise puisse participer démocratiquement à sa direction, la nationalisation-socialisation des banques et des compagnies d'assurance parce qu'il faut absolument sortir ces entreprises de la sphère privée, afin d'amener à la ré-appropriation citoyenne de la gestion de l'épargne populaire au profit de la société toute entière,
de nouveaux financements au niveau européen, avec l'urgence de mettre fin à l'indépendance de la Banque Centrale Européenne afin de la placer sous l'autorité politique des institutions européennes élues assortie d'un contrôle démocratique et citoyen, mais aussi au niveau national, avec l'arrêt des exonérations à tout-va des cotisations patronales ou la maîtrise du crédit.
Il est urgent de sortir l'économie des griffes des marchés financiers, justement parce que « l'anatomie de la société civile doit être cherchée à son tour dans l'économie politique ». Pour obtenir le changement, nous devons donc nous ré-approprier l'économie.
De nouveaux axes de luttes sont aussi à lancer ! Dans ce sens, nous nous félicitons de la campagne d'alternative à l'austérité initiée par le Parti Communiste Français et reprise depuis par le Front de Gauche. Aussi, par exemple, afin que nos idées soient le plus largement possible diffusées, il faudrait remettre en question le peu de place que nous occupons dans les médias. Pourquoi l'égalité des temps de parole entre partis politiques n'est-elle imposée que pendant les périodes d'élection ? Peut-on faire confiance aux informations d'une presse dirigée par de grands patrons papillonant d'une multinationale à une autre, ou quand les fameux « experts » invités sur les plateaux tiennent tous le même discours ?
À Suresnes, les communistes s'attachent à la défense du service public face à la dictature de l'austérité poursuivie par le nouveau gouvernement. Après avoir impulsé une résistance à la fermeture de leur dernier centre de sécurité sociale, mobilisé et combattu sur les questions de la casse du service public au niveau local ou encore sur la pénurie de logement vraiment social, les communistes de Suresnes restent vigilant et prêt à se mobiliser de nouveau pour conquérir le vrai changement, maintenant, et sans attendre !
le 16 janvier 2013
n À Orléans, le projet Arena fédère un certain nombre d'opposants. Est-ce que vous entendez leurs critiques ? Il y en a qui méritent d'être prises en compte. Notamment quand on avait fait le choix du site de l'Île-Arrault. On a écouté, puisqu'on a changé de site. D'autres relèvent de la volonté de faire peur à la population et n'ont aucun fondement. On a laissé entendre que la ville allait financer plus de 100 millions d'euros. L'ordre de grandeur en investissement pour la ville d'Orléans, c'est 20 millions d'euros, étagé sur 2 à 4 ans. Sur une enveloppe de l'ordre de 100 millions d'euros. La ligne B du tramway, c'est 400 millions d'euros, l'hôpital, c'est 600 millions d'euros.
n Si l'État n'apporte pas les 15 millions, qu'advient-il du projet ? Moi, je pars du principe inverse. Mais on ne reviendra pas sur l'équation financière générale et la ville n'apportera pas les 15 millions qui manquent. Le projet se fera.
n Il semble pourtant acquis que même si l'État vous accorde à nouveau une subvention, elle ne sera pas à la hauteur de la précédente. Si on est à quelques millions près, des ajustements sont possibles.
n Avec le partenaire privé ? Le partenariat public-privé restera tel qu'il est. On verra à ce moment-là.
n Êtes-vous conscient que ce projet sera un argument de l'opposition pour la campagne qui s'annonce ? Je ne raisonne pas de cette manière-là, je raisonne sur ce qui me semble être l'intérêt des Orléanais et d'Orléans. Il faut qu'Orléans prenne des positions fortes, qu'elle affirme son statut de capitale de région et, en même temps, que nous répondions aux besoins légitimes de la population. Ce sera un des seuls équipements de ce type en France. On va parler beaucoup d'Orléans et Orléans a besoin qu'on parle d'elle.
n Mais Orléans a des équipements de proximité dans un état qui laisse à désirer. L'Arena, avec ses salles annexes correspond à deux gymnases de quartier. En plus, on libère le palais des sports – sur lequel on aura des investissements à faire – qu'on peut restituer à tous les clubs orléanais qui en ont besoin. Je rappelle aussi qu'on fait à peu près un équipement neuf ou refait par an.
n Orléans a déjà un Zénith. A-t-elle besoin d'une Arena ? Nous voulons avoir une offre globale. L'Arena correspond à une autre jauge, un autre usage. Nous serons amenés à configurer différemment le Zénith, en conservant son label Zénith, j'insiste.
n La rentabilité d'une Arena est-elle assurée ? L'équilibre financier est à la charge de l'exploitant. Le risque n'est pas porté par la ville. Nous avons également le club de basket résident.
n L'association Présence de Jean-Tschumi se bat pour protéger le bâtiment. Si le site Famar est classé, avez-vous pensé à un autre endroit ? Non. Avec des gens de bonne volonté, je pense qu'il y a d'autres moyens de maintenir une mémoire de ce bâtiment que de le classer. Quant aux éléments remarquables, il y a une très grande désinformation. La casquette, à l'entrée, côté Loire, n'existe plus, elle a été modifiée puis démolie. J'ai été le vérifier moi-même. La dernière transformation date de 1991, avec mon prédécesseur maire d'Orléans, et son adjoint d'alors, Antoine Prost, qui fait partie des signataires pour la protection du bâtiment, alors que cette municipalité avait accordé le permis de démolir !
n Certains reprochent également au lieu son éloignement des transports en commun. On a regardé si les deux trams étaient bien positionnés ou pas par rapport à l'Arena. Et c'est le cas ! Un arrêt ne doit pas être situé juste devant, sinon, ça pose des problèmes, comme au niveau du Zénith…
n Vous avez déposé un recours devant le tribunal administratif contre la décision de la ministre. Quel est le planning ? L'idéal serait que le CNDS, comme il l'a annoncé, se prononce au cours du premier trimestre, en tout cas avant l'été, c'est évident !
n Sinon ? Sinon, nous continuerions à avancer sur le dossier, mais je ne prendrais pas de décision, parce qu'à ce moment-là, il serait avéré que nous aurions un manque de 15 millions.
« C'est normal qu'un maire défende sa ville »
n Vous étiez proches de certains membres du ministère des sports. C'est cette proximité passée que vous payez ? Je pense qu'il y a une dimension politique, tout le monde le voit.
n Avez-vous tenté un passage en force, juste avant la présidentielle ? Mais expliquez-moi, ça veut dire quoi ?
n Ça veut dire que vous auriez fait un lobbying actif pour que ce dossier soit examiné en commission avant l'élection. Je vous ai donné les dates. Le dossier a été déposé au CNDS en 2010.
n Mais la décision de subvention n'était pas prise ! Ce n'est quand même pas de ma faute, s'il y a eu des tergiversations à cause des remaniements ministériels. À chaque fois qu'il y a un changement de ministre, il faut tout réexpliquer au suivant. La décision devait être prise en septembre 2011. Le CNDS avait validé, la subvention devait suivre. David Douillet arrive, une nouvelle commission de labellisation des Arena est créée, parce que le ministère s'attendait à de nombreux dossiers.
n Une commission dont vous avez fait partie, avant de démissionner. J'ai démissionné pour ne pas être dans un conflit d'intérêt, avant que le projet orléanais soit examiné…
n Et tout cela a ralenti… Mais complètement !
n Et donc, à un moment il a fallu accélérer… Mais c'est normal qu'un maire défende sa ville ! Moi, j'ai dit au ministère des sports que je commençais à en avoir marre des procédures. Il y avait un projet orléanais qui était validé. Pour finaliser le contrat de partenariat, j'avais besoin de savoir quel est le financement apporté par l'État, puisqu'il y avait validation du projet !
n Avez-vous pensé à consulter les Orléanais ? C'est très difficile. On ne va pas faire un référendum. Il y a eu une opposition sur le site initial de l'Île-Arrault et je l'ai vu dans les réunions. Et lors de la dernière réunion que j'ai faite, il n'y avait plus aucune hostilité. Il y a aussi une interrogation sur le coût du projet. « Est-ce bien raisonnable en temps de crise ? » Je l'entends et j'y ai répondu. Depuis qu'on a présenté le projet de Jacques Ferrier, je n'ai pas eu une critique sur le projet. Tout le monde le trouve très beau !
n Vous dites que vous n'en faites pas une affaire personnelle, pourtant, vous jouez votre mandat là-dessus. Je m'en fous ! Et non, je ne crois pas.
n Pourtant, vous tenez à montrer cette volonté inébranlable d'aller de l'avant. Je pense qu'Orléans est à la croisée des chemins en cette période de crise. L'Arena est un vecteur d'image et de développement de la ville.
Retrouvez notre dossier sur l'Arena. http://www.larep.fr/loiret/actualite/2013/01/16/le-projet-arena-se-fera-1407105.html
le 16 janvier 2013
A lire sur le site Centre LGTB Orléans!
Nous sommes maintenant devant une opposition farouche d’une frange réactionnaire de la société qui ne supporte pas l’idée que nous puissions accéder au même statut et aux mêmes droits que les personnes hétérosexuelles.
Les positions sont tranchées et notre combat est bien celui de l’égalité.
Egalité entre les hommes et les femmes.
Egalité des couples devant la République.
Egalité de protection des enfants dans la République, de tous les enfants.
Au moment où le gouvernement semble reculer et où la mobilisation pour la procréation médicalement assistée chez les députés semble bien fragile, nous rejoignons la mobilisation nationale du 19 janvier.
Toutes les villes de France sont appelées à manifester pour soutenir le projet de loi et exiger que le gouvernement fasse une vraie loi complète sur l’égalité qui prenne compte les questions de parentalité et la Procréation Médicalement Assistée pour les couples de femmes ayant un projet parental.
Nous appelons également à la manifestation nationale du 27 janvier. Toutes les villes de France se rejoindront à Paris pour une grande manifestation unitaire. Le GAGL45 affrétera un bus pour faciliter votre déplacement.
Rendez-vous le samedi 19 janvier à 15h place d’Arc à Orléans,
avec vos drapeaux arc en ciel et vos pancartes.
le 15 janvier 2013
Les Jeunes Communistes se sont mobilisés dimanche matin, pour mettre en place une banderole d'accueil pour le départ des opposants au mariage pour tous : « Votre Bible ne fera pas notre loi : laïcité !
Ils précisent sur leur site : http://64.jeunes-communistes.org
« Notre engagement pour le droit au mariage homosexuel n'est pas par pur fétichisme pour le mariage en lui-même. Il s’agit avant tout d’une question d’égalité entre tous les citoyens quelle que soit leur orientation sexuelle.
De plus, notre action avait un second caractère. En effet, tout comme nous défendons les Egyptiens et Tunisiens s'opposant à la mise en place de la Charia, nous rejetons le caractère religieux de cette revendication. Ce n'est pas à la bible de faire la loi !
Qu'est-ce qui est déviant et qu'est-ce qui ne l'est pas ? Est-ce que le fait de vouloir se marier avec un homme ou une femme d'une couleur, d'une origine différente de la nôtre, est déviant ? Dans la France de Vichy, la réponse était oui. Et il y a bien longtemps que les lois de notre République ont dépassé ses préjugés racistes. Aujourd’hui ce sont d’autres préjugés qu’il est urgent de dépasser !
Si l'on nous dit qu'il faut obligatoirement un homme et une femme pour éduquer des enfants, devrait-on supprimer les enfants nés sous X, devrait-on assigner de force un homme ou une femme aux familles monoparentales ?
Si nous parlons de risques de conséquences graves pour l'enfant, ne devrait-on pas parler des conséquences liées au fait de grandir dans une famille pauvre ? De nombreuses études montrent que l'homoparentalité n'a pas de retentissement psychique sur l'enfant.
L’homoparentalité existe déjà dans les faits et le droit actuel prive certains parents de leurs droits légitimes. Qu’en est-il des enfants qui grandissent dans les bras de l'Aide Sociale à l'Enfance et qui ne demandent que stabilité et des parents aimants ? Ces enfants pourraient être accueillis par ces couples qui se rendent disponibles et impliqués. Jugés hors norme par certains, nécessaires pour d’autres ?
A choisir entre les réactionnaires et les enfants, nous mettons les enfants au centre !
Le mariage et l’adoption pour tous sont les concrétisations immédiates à appliquer pour l'égalité ! »
Jeunes Communistes 64
le 15 janvier 2013
Rés Lib' spécial droit de vote des étrangers aux élections locales
En UNE : Le droit de vote, c'est maintenant ! Par Pierre Laurent
Au sommaire :
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Édito par Pierre Laurent
Cinq millions de résidents vivent, travaillent et payent leurs impôts en France. Cinq millions qui attendent depuis trente ans qu’enfin on leur accorde ce droit légitime qui leur permettrait d’avoir un droit de regard sur la vie de la commune et la façon dont leurs impôts sont utilisés.
Lors de ses vœux 2013, le président Hollande n’a pas évoqué le 50ème engagement du candidat Hollande. Pourtant, pour être effectif en 2014, la fenêtre de tir est très serrée. La loi votée par le Sénat le 8 décembre 2011 est maintenant sur le bureau de l’Assemblée nationale. Le gouvernement se doit de l’inscrire à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale rapidement afin que les délais nécessaires à l’organisation de la révision constitutionnelle garantissent ce droit civique essentiel aux résidents étrangers dès 2014.
Ce droit a une forte charge symbolique. Le droit de vote reconnaît à ceux qui vivent, souvent depuis longtemps, en France, l’appartenance à la destinée commune du peuple. Faut-il rappeler que dans l’Algérie coloniale, le suffrage universel excluait « les indigènes ». Le gouvernement Hollande commettrait une grave erreur s’il ne mesurait que ce renoncement doublé de la déception sociale alimente la colère sourde qui gronde dans les quartiers.
Plutôt que d’avoir peur de son ombre, le pouvoir doit avoir confiance dans la démocratie et dans le peuple. Au congrès, c’est plus que jouable. Si tous les parlementaires de gauche sont fidèles aux engagements qu’ils ont pris devant leurs électeurs, il manquerait 28 voix pour obtenir la majorité qualifiée.
Et puis, si la droite parlementaire s’arcboute sur le refus, il faut en appeler à la souveraineté populaire par référendum. La démocratie est toujours une force. Notre peuple l’a souvent démontré dans l’histoire.
Depuis trente ans, le Parti communiste, ses militants et les élu-e-s communistes ferraillent en faveur de ce droit civique élémentaire. De nombreuses communes ont organisé des votations citoyennes. Beaucoup permettent aux résidents étrangers de participer à la décision.
Cette fois doit être la bonne. Nous mettrons toute notre énergie dans la balance.
Pierre Laurent
Secrétaire national du PCF
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le 14 janvier 2013
L'Inter-LGBT et le collectif « Agissons pour l'égalité » organisent une grande manifestation
Pour l'égalité des droits, le mariage, l'adoption, la PMA et la filiation pour tous les couples !
Trajet en bus au départ de l'Oise ce dimanche 27 janvier :
Pour s'inscrire, envoyez un mail en cliquant ici |
le 14 janvier 2013
"Concernant le débat sur le budget 2013, j’ai tenu à déclarer, suite à l’intervention de Mr Michel MARTIN, Adjoint aux Finances, qui se félicitait du maintien des taux, que les bases, elles, votées au Parlement, étaient en augmentation. Pour ce qui concerne particulièrement la Source, l’injustice fiscale continue avec un différentiel de 30% en plus par
rapport aux autres quartiers d’Orléans. Michel MARTIN s’est refusé, une fois encore, à ouvrir le dialogue avec le “groupe de travail valeurs locatives” de la Source que j’ai mis en place en 2008."
Michel RICOUD