La revue du projet

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NON à l'austérité permanente!!Ouvrons le débat en Europe !

le 20 septembre 2012

NON à l'austérité permanente!!Ouvrons le débat en Europe !

Le président de la République veut faire ratifier au plus vite par le Parlement le Traité pour la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) de la zone euro, plus connu sous l’intitulé de « Pacte budgétaire », tel qu’il a été signé par Nicolas Sarkozy le 25 mars dernier. Pourtant, les faibles mesures « de croissance » annoncées le 29 mai dernier ne constituent en rien la « renégociation » promise par le candidat François Hollande d’un traité qui « ajoute l’austérité à l’austérité ».

Ce Pacte budgétaire aggrave les politiques néolibérales prônées depuis des années et qui ont mené aux problèmes actuels de la zone euro. Il représente d’abord une absurdité économique. En imposant que le « déficit structurel » d’un État soit inférieur à 0,5 %, il va obliger à des coupes drastiques dans les dépenses publiques. Il va priver la puissance publique de moyens indispensables pour mener des politiques permettant d’engager la transition sociale et écologique. Or nous avons besoin au contraire de développer et de rénover les services publics et la protection sociale pour répondre aux nombreux besoins non satisfaits, réduire les inégalités sociales et réaliser l’égalité entre les femmes et les hommes. Nous avons besoin d’investissements publics considérables pour financer la transition énergétique, réduire les pollutions, assurer la reconversion écologique des modes de production et de consommation, créer des millions d’emplois. L’obligation d’équilibre budgétaire permanent sera un frein majeur pour s’attaquer à la crise sociale et écologique.

Dans une Europe où les clients des uns sont les fournisseurs des autres, cette orientation engagée depuis deux ans amène aujourd’hui la récession généralisée. Les difficultés de PSA et d’autres entreprises découlent directement de l’effondrement de la demande en Europe du Sud. Aujourd’hui le pouvoir d’achat stagne ou régresse, les entreprises et les collectivités locales réduisent leurs investissements : dans ce contexte couper dans les dépenses publiques ne fera qu’aggraver le chômage. Dès 2013, selon une étude du FMI lui-même, ramener le déficit de la France à l’objectif de 3% du PIB affiché par le gouvernement créera automatiquement 300 000 chômeurs de plus. La réduction des recettes fiscales qui en résultera rendra encore plus difficile la réduction des déficits, que l'austérité était censée favoriser, « justifiant » ainsi un nouveau tour de vis, etc.

Économiquement stupide, ce Pacte budgétaire est socialement insupportable car les « programmes d’ajustement structurel » aujourd’hui imposés à la Grèce et aux autres pays en difficulté réduisent les protections, accroissent les inégalités et touchent le plus durement les populations les plus précaires - femmes, jeunes, ouvriers, immigré-es. Loin d’éviter aux pays du Nord de l’Europe de subir le sort de ceux du Sud, ce Pacte entraîne toute l’Union dans une spirale dépressive qui risque de généraliser la pauvreté. Ce serait un recul sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale.

Enfin, ce Pacte budgétaire représente un déni démocratique. Non seulement il prévoit des sanctions quasi automatiques en cas de non-respect, mais il marginalise les Parlements nationaux et européen, et fait de la Commission et de la Cour européenne de justice, organismes non élus, les juges des budgets nationaux. Il installe un fédéralisme autoritaire niant la souveraineté populaire. Il place l’économie en pilotage automatique, soumise à des normes destinées à rassurer des marchés financiers dont la puissance n’est pas remise en cause. Nous ne l’acceptons pas.

Les crises sociale, écologique et financière mondiales s’aggravent. Elles sont lourdes de dangers comme le montre le renforcement des extrêmes droites xénophobes et nationalistes. Ces crises nécessitent une mobilisation de l’Europe, mais d’une Europe fondée sur la solidarité et la démocratie, d’une Europe qui se dégage de l’emprise des marchés financiers. Or le Pacte budgétaire va au contraire renforcer les contradictions internes à la zone euro et pourrait mener à son éclatement. Le refus de la France de ratifier ce traité serait un signal fort envoyé aux autres peuples européens afin d’ouvrir le débat sur la construction d’une autre Europe.

C’est pourquoi, nous, les organisations signataires de ce texte, que peuvent en permanence entériner toutes les organisations syndicales, associatives et politiques progressistes, refusons ce Pacte budgétaire qui engage l’avenir. Nous demandons qu’un large débat démocratique ait lieu afin que les citoyens et citoyennes puissent s’emparer de ce sujet décisif et se prononcer à son propos. Nous voulons mettre le Président de la République, son gouvernement, les parlementaires devant leurs responsabilités.

Pour créer ce débat démocratique, nous appelons à renforcer les collectifs locaux déjà existants – notamment ceux pour l’audit citoyen de la dette publique -, à en créer de nouveaux le cas échéant ; nous organiserons ensemble une série de débats publics dans toute la France; nous nous adresserons et inviterons les citoyens à s'adresser à chaque député et sénateur de la majorité parlementaire, et nous organiserons des manifestations dont une grande manifestation unitaire à Paris le dimanche 30 septembre. Un comité d’organisation se met immédiatement en place pour assurer le succès de ces initiatives.

Premiers signataires(*) :
Aitec-IPAM, AC !, ANECR, Attac, CADTM, Cedetim-IPAM, CDDSP, CNDF, Les Économistes Atterrés, Fondation Copernic, Front de gauche - Parti communiste français - Parti de gauche - Gauche unitaire - FASE - République et Socialisme - PCOF - Convergence et Alternative - Gauche anticapitaliste, Les Alternatifs, Marches Européennes, NPA, Résistance Sociale, Solidaires, Sud BPCE.

(*) Toutes les organisations syndicales, associatives et politiques progressistes qui le souhaitent peuvent rejoindre les premiers signataires. Pour en savoir plus : www.audit-citoyen.org ou contact@audit-citoyen.org.

Pétition pour la ligne 25!!

le 20 septembre 2012

 Pétition pour la ligne 25!!

Depuis la rentrée scolaire de septembre, les dysfonctionnements s'accumulent sur la ligne 25 reliant Saran au lycée d'Ingré. Contrairements aux promesses de l'AgglO et de son délégataire Kéolis, la qualité de la desserte de cette ligne s'est gravement dégradée suite à la mise en place du nouveau réseau de transport au sein de l'agglomération orléanaise. En l'absence de réponse concrète, le maire de Saran a décidé de s'adresser publiquement au président de l'AgglO.

Bus trop chargés qui ne s'arrêtent pas, horaires incompatibles avec ceux des cours au lycée d'Ingré, réduction du nombre de bus aux heures de pointe, bus en panne.... Les lycéens saranais qui tentent de se rendre chaque jour à Ingré ou d'en revenir sont soumis depuis deux semaines à une épreuve qui n'est pourtant pas au programme du baccalauréat !

Clairement, au vu de la presse locale ou des nombreuses lettres et courriels adressés par les parents des élèves concernés, la qualité de la desserte de la ligne 25 n'a plus rien à voir avec la situation de l'année scolaire dernière.

Face à cette situation, Maryvonne Hautin a appelé ce lundi la direction locale de Kéolis et a écrit hier à Charles-Eric Lemaignen afin que toutes ces difficultés soient rapidement solutionnées et que les usagers de la ligne 25 retrouvent un service public de qualité. Sans suite à ce jour...

Signez la pétition pour améliorer la ligne 25 du réseau TAO entre Saran et Ingré  

http://www.petitionpublique.fr/?pi=sarantao

 

La voie de l'efficacité à Gauche pour 2014 : Ouverture, lucidité, responsabilité et rassemblement. Le point de vue des communistes.

le 20 septembre 2012

La voie de l'efficacité à Gauche pour 2014 : Ouverture, lucidité, responsabilité et rassemblement. Le point de vue des communistes.

La presse locale fait état de prises de positions en vue des élections municipales de 2014 et des projets pour le pays de Douarnenez. Aucune n'exprime le point de vue du Front de Gauche.

Le Parti Communiste Français, pour sa part, est favorable à l'existence de tous les espaces de débats et d'actions ouverts à tous les citoyens. Il ne prétend en aucun cas détenir la vérité et se félicite de pouvoir enrichir ses idées en les confrontant à celles d'autres organisations , d'autres personnes. Les assemblées citoyennes qui se sont tenues depuis l'automne dernier et pendant toutes les campagnes du Front de Gauche en témoignent. Les communistes de Douarnenez entendent leur donner des prolongements avec tous leurs partenaires du Front de gauche, tout comme ils seront présents partout où ils pourront échanger dans le respect de ce qu'ils sont. Présents le 13 septembre, ils ont librement donner leur avis sur les différents points débattus mais aussi exprimé un certain nombre de réserves sur la démarche initiée par le « collectif citoyen ». Réserves partagées par beaucoup dans notre ville .

Pour ne s'en tenir qu'à deux :

  • La première est de ne pas faire comme si on repartait de zéro pour écrire une page blanche. Conscients du message que les douarnenistes ont adressé à la gauche locale lors du scrutin municipal de 2008, ils invitent toute la gauche et tous les citoyens à réfléchir ensemble sur le bilan de la mandature 2001-2008 avec ses ombres et ses lumières mais aussi les conditions de constitution des listes, la façon de mener une campagne électorale, la manière de construire un projet et d'associer au-delà de la démocratie représentative les citoyens à l'action locale, la dimension intercommunale, les exigences d'un réel travail collectif....Seule cette démarche de lucidité et de responsabilité permettra de trouver une efficacité nouvelle, de construire un projet novateur, de constituer des équipes largement renouvelées et rajeunies.

  • La deuxième est toute à la fois une exigence de démocratie et l'affirmation d' une volonté de réussite. Les considérations d'alliances ne peuvent être évacuées: les organisations dans les formes qui leur sont propres, les citoyens engagés pour un renouveau à gauche du Pays de Douarnenez auront à en débattre. Le rassemblement le plus large sera nécessaire pour mettre fin à la gabegie actuelle et prendra des formes certainement variées suivant les communes du Pays de Douarnenez Communauté. On ne peut l'enfermer à l'avance dans le choix de constituer une liste en dehors des partis autour d'un groupe de personnalités. Chaque formation politique de Gauche , tous les citoyens qui veulent s'impliquer doivent y trouver leur place à égalité et dans le respect de chacun. Opposer les unes aux autres ne peut que conduire à la division et à l'échec.

L'eau, victime d'un hold-up !

le 20 septembre 2012

L'Europe des peuples nous appelle. Patrick Le Hyaric

le 20 septembre 2012

Patrick Le Hyaric démonte dans cet ouvrage la camisole de force dans laquelle les institutions européennes, de concert avec les marchés financiers, tentent d’enfermer les peuples pour longtemps. C’est l’austérité à perpétuité que prévoit le nouveau traité européen coécrit par M.Sarkozy et Mme Merkel.

Celui-ci a deux frères : le paquet de deux règlements qui fait de la Commission la police budgétaire, économique et sociale et le mécanisme européen de stabilité (MES), ce FMI européen. Ce livre les révèle, les décortique, en montre les conséquences terribles pour les peuples : souffrances sociales aggravées, recul considérable de la démocratie, vol de la souveraineté populaire.

Un système ultralibéral et totalitaire serait constitutionnalisé. Ces textes fracturent les idéaux de la République et conduisent à l’implosion de l’idée européenne. Le moment est sérieux et grave. Ce livre est un appel à la résistance et à lancer un processus unitaire de refondation de l’Europe.

Patrick Le Hyaric est directeur de l’Humanité et de l’Humanité-Dimanche. Député au parlement européen, Vice-président du groupe de la Gauche unitaire, Gauche verte nordique.

Exclusif : l'intégralité du traité TSCG, du pacte de croissance et des deux règlements coercitifs votés par le Parlement européen.

Disponible à la fédération du Rhône du PCF au prix de 5 euros. 

 

Dans le Rhône comme ailleurs refusons le Pacte Budgétaire !

le 20 septembre 2012

Actuellement le PCF et le Front de Gauche ont lancé une grande campagne pour exiger un référendum sur le nouveau traité européen (TSCG). En plus de vouloir imposer la règle d’or à tous les pays de l’Union Européenne, il veut institutionnaliser dans les constitutions d’Etat l’ultralibéralisme comme seul modèle de société et seul remède face à la crise.  Plusieurs initiatives et dates vont animées cette campagne, qui sera ponctuée par la grande manifestation nationale du 30 septembre à Paris. Des cars sont par ailleurs déjà disponibles afin d’amener le plus de camarades possible. Nous souhaiterions en envoyer 200. Renseignements et inscriptions sur lyon-paris-30septembre2012@laposte.net ou cad69.contact@free.fr

Les pétitions sont également un atout indispensable pour peser sur la décision qui sera prise et sur le rapport de force global. Nous avons un objectif de 6000 pétitions à faire signer pour le Rhône. Voir pièce-jointe au prorata des sections.

De plus, outre la grande manifestation à Paris, un meeting unitaire départemental est organisé le 27 septembre à 19 h 00 à la Bourse du Travail. Et enfin, la section de Lyon fera signer des pétitions place Bellecour le 29 septembre à partir de 14 h 00.

Maintenant place aux actes ! Battons-nous pour exiger un référendum !

Marikana : fin de la grève après la signature d’un accord salarial

le 20 septembre 2012

Plus d’un mois après le début d’une grève très meurtrière, les ouvriers miniers de Marikana ont mis fin au mouvement après un accord avec le producteur britannique Lonmin prévoyant des hausses salariales.

Avec les 11 000 rands obtenus, l’objectif des 12.500 rands (1.170 euros) nets revendiqués dès le départ du mouvement par les grévistes n’a pas été atteint. Le bilan reste amer pour les ouvriers qui ont été arrêtés le 16 août et ont passé deux semaines en prison. 45 personnes au total avaient trouvé la mort au cours de cette grève, dont 34 personnes tuées par la police lors d’une fusillade le 16 août. L'accord salarial a par ailleurs été dédié "à tous les employés décédés qu'il a fallu enterrer".

Mais c'est toutefois en dansant et chantant qu’environ 5 000 grévistes  ont quitté mardi soir le stade dans lequel ils étaient réunis pour écouter l’accord présenté par l'évêque Jo Seoka, principal médiateur religieux dans les négociations. Entre 11 et 22 % d’augmentation salariale ont été promis par la direction à partir du 1er octobre, selon le grade de l’ouvrier (22 % pour les foreurs à l’initiative du mouvement, 15 pour les mineurs de base). Une prime correspondant environ à 190 euros a également été promise aux travailleurs qui reprendront leur poste jeudi matin. Les représentants des ouvriers de la mine qui emploie 28 000 personnes, se sont félicités de cet accord et clôturant "de difficiles négociations".

La production a également repris dans les mines du premier producteur mondial de platine Anglo American Platinum où le mouvement s’était propagé la semaine dernière, suite à la promesse salarial d'un accord prochain. Mardi, la grève continuait cependant dans la mine d'or de KDC West, exploitée par le groupe Gold Fields au sud-ouest de Johannesburg et dont la direction menaçait les grévistes de licenciement.

Des conséquences socio-économiques lourdes

Ces multiples grèves ayant également touché la production d’or et de chrome, auraient coûté selon le président Joseph Zuma plus de 500 millions de dollars à l’économie la plus prospère du continent africain, et ont mis en lumière le favoritisme politique régnant dans l'industrie minière. En effet, le statut de la puissante fédération minière NUM (Syndicat National des Mineurs) très proche du Congrès National Africain au pouvoir, a été largement contesté au profit de l'Association du syndicat des mineurs et des ouvriers du bâtiment (AMCU) à laquelle appartiennent les foreurs grévistes.

Mourir au travail en 2012, pour gagner sa vie, c'est encore possible.

le 18 septembre 2012

Mourir au travail en 2012, pour gagner sa vie, c'est encore possible.

Intolérable ! Inacceptable !

Au fond de la cale d'un bateau un ouvrier docker a trouvé la mort, écrasé par une charge de huit tonnes. Et déjà la petite musique se fait entendre : pas de chance, au mauvais endroit, le destin, le grutier, le mauvais moment...  Et quoi de plus encore ?

Là comme ailleurs les mêmes causes produisent les mêmes effets. Il faut aller toujours plus vite, le temps c'est de l'argent, les armateurs n'aiment pas rester trop longtemps à quai, la productivité... Et il faut donc bosser plus vite, tard le soir, tôt le matin, au mépris de toutes règles de vie et de sécurité.

La loi de déréglementation des ports initiée en 1992 par le gouvernement P.S. de l'époque a conduit à la privatisation des quais et l'entrée de structures privées, à l'explosion du statut des dockers, à la précarité et flexibilité à outrance. Aujourd'hui en bas des cales des bateaux le danger guette encore plus. L'expérience n'est plus là et la formation non plus. On prend et on jette les salariés au gré des besoins. Parfois il y a deux fois plus de travailleurs intérimaires que de salariés permanents. Et les rapaces de la finance qui rodent sur les quais en veulent toujours plus et exigent la main mise sur les outillages (grues et personnels) pour faire encore plus de fric et casser toutes entraves à leurs désirs  financiers. Qui osera se plier à leur diktat ?

On a là un exemple concret de la tournure que le MEDEF veut donner aux négociations entamées sous l'égide du gouvernement avec les organisations syndicales. Aucune entrave, aucun garde fou, aucun statut pour que soient préservés le fric et les actionnaires.

 Alors à quand une loi, comme l'exige le P.C.F., donnant des pouvoirs d'intervention aux salariés dans la gestion et la conduite des entreprises ? A quand une loi pour sécuriser les parcours professionnels, garantir les statuts, développer les formations etc...

Le changement c'est maintenant ?
 

Deux traités pour couler l'Europe

le 13 septembre 2012

Pour une Europe solidaire, non au traité d'austérité ! le 30 septembre, Rassemblement à 9h30 sur le parvis de la gare de Poitiers et Manifestation unitaire à Paris à 13h30

le 13 septembre 2012

Pour une Europe solidaire, non au traité d'austérité !  le 30 septembre, Rassemblement à 9h30 sur le parvis de la gare de Poitiers et Manifestation unitaire à Paris à 13h30

Rassemblement sur le parvis de la Gare de Poitiers le 30 septembre à 9h30 pour accompagner les manifestants qui prennent le train

 

Manifestation unitaire le 30 septembre à Paris à 13h30

à l'appel de nombreuses organisations (*)

Au départ de Poitiers : départ 10h23 arrivée 11h54 – retour 17h59 arrivée à 19h47

Au départ de Châtellerault : départ 9h10 arrivée 10h42 – retour 17h59 arrivée à 19h27

prix du voyage : entre 30€ et 60€ selon vos moyens

Renseignement/réservation : 05 49 55 12 33 – fdpc86@wanadoo.fr (nous communiquer le lieu de départ, numéro de téléphone portable de préférence, et possible adresse e-mail).

 

Appel à souscription pour aider à financer cette campagne, en particulier à baisser le prix du voyage pour les personnes qui ont peu de moyens : chèque à l'ordre de « ADF-PCF86 », à envoyer à « PCF86 – 140 Grand Rue – 86000 Poitiers ». Indiquer « campagne contre le pacte budgétaire » au dos du chèque. Les dons feront l'objet d'une réduction de 64% de l'impot sur les revenus. Si vous donnez 100€ vous récupérerez 64€ sur vos impots (si vous êtes imposables).

 

Le président de la République veut faire ratifier au plus vite par le Parlement le Traité pour la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) de la zone euro, plus connu sous l’intitulé de « Pacte budgétaire », tel qu’il a été signé par Nicolas Sarkozy le 25 mars dernier. Pourtant, les faibles mesures « de croissance » annoncées le 29 mai dernier ne constituent en rien la « renégociation » promise par le candidat François Hollande d’un traité qui « ajoute l’austérité à l’austérité ».

 

Ce pacte budgétaire est : économiquement stupide, socialement insupportable, une atteint à la souveraineté et un déni de démocratie !

 

Le Front de Gauche, appelle à un référendum sur ce nouveau traité européen. Un référendum serait un formidable point d'appui pour exiger un nouveau traité et donner de la force à cette exigence dans toute l'Europ. Pour signer l'appel : http://www.pcf.fr/27537

 

Assemblées citoyennes déjà programmées :

À Poitiers mardi 18 septembre salle Timbaud à 20h00

À Châtellerault lundi 24 septembre à 18h00 salle Camille Pagé

À Montmorillon Vendredi 21 septembre à 20h30 au centre médico-social

 

(*) premiers signataires :Aitec-IPAM, AC !, ANECR, Attac, CADTM, Cedetim-IPAM, CDDSP, CNDF, Les Économistes Atterrés, Fondation Copernic, Front de gauche - Parti communiste français - Parti de gauche - Gauche unitaire - FASE - République et Socialisme - PCOF - Convergence et Alternative - Gauche anticapitaliste, Les Alternatifs, Marches Européennes, NPA, Résistance Sociale, Solidaires, Sud BPCE.