le 09 mars 2016
le 09 mars 2016
le 09 mars 2016
le 09 mars 2016
Au bout de leur peine, projection débat en présence de la réalisatrice, Mathilde Syre.
lundi 21 mars à 20:30 au cinéma Le Dietrich
le 08 mars 2016
le 07 mars 2016
Nous ne voulons pas d’une démarche de sommet, nous voulons un peuple acteur.
La situation porte de très graves dangers et les conditions politiques de 2017 ne sont pas celles de 2012.
Le scénario du tripartisme peut conduire à la marginalisation, pour de nombreuses années, de l’identité historique de la gauche et de toute perspective de transformation sociale. Des potentialités inédites de rassemblement existent : le gouvernement voit désormais sa légitimité contestée jusqu’au cœur du Parti socialiste.
Ce rassemblement de toutes celles et ceux qui veulent une alternative de gauche à la politique de François Hollande est la seule possibilité de déverrouiller le scénario du tripartisme. Notre ambition est de donner un prolongement à l’ambition stratégique qui a présidé à la création du Front de gauche : c’est un nouveau front populaire et citoyen, un nouveau front social et politique, que nous voulons contribuer à faire émerger en rassemblant les forces de la gauche et de l’écologie politique, les forces syndicales, le mouvement social, le monde du travail et de la création pour ouvrir un nouveau chemin d’espoir pour la France. Les luttes sociales, notamment la mobilisation qui grandit contre la loi El Khomri, seront essentielles pour la construction de ce front.
Cette ambition implique des initiatives politiques de très grande ampleur. Les élections présidentielles et législatives de 2017 seront une étape essentielle pour cela car elles sont des échéances incontournables qui constituent un fort moment de politisation populaire. Nous pourrions appeler toutes les forces de gauche et citoyennes portant l’ambition d’une alternative de gauche à construire un rassemblement autour d’un mandat populaire de gauche, d’une candidature commune à la présidentielle et d’une majorité législative pour le porter.
Nous ne voulons pas d’une démarche de sommet, nous voulons un peuple acteur.
le 07 mars 2016
Eric Denoyer, patron de SFR, vient d’empocher 15 millions d’euros de plus-value « grâce à la levée de ses stock-options », comme dit la presse économique.
Somme qui vient s’ajouter aux deux millions de prime qu’il a perçus en quittant ses fonctions de directeur général, remplacé par Michel Paulin.
Qu’on se rassure, Denoyer, longtemps bras droit de Patrick Drahi, patron lui d’Altice, la maison mère de SFR, reste au conseil d’administration.
Interrogé sur le pactole amassé en quelques mois (entre la mi-novembre 2015 et la mi-février 2016), le bonhomme répond, dépité : « Je vais payer énormément d’impôts, en France ».
Curieuse formulation. On y sent poindre comme un petit regret, du genre « Ah, si SFR avait été installé aux Iles Vierges... ».
Y a pas à dire, la vie de patron, ce n’est pas du gâteau, comme disait Macron, ou Valls, ou Hollande.
Enfin l’un des membres du clan gouvernemental.
le 07 mars 2016
le 05 mars 2016
le 05 mars 2016