le 26 février 2016
le 25 février 2016
Communiqué de presse du PCF 86 en date du 24 février 2016
Bruno Belin est d'accord sur le principe de conditionner le versement du RSA (comme il l'indique dans la Nouvelle République du 21/02), selon le vieux refrain cher à la droite : "les pauvres sont responsables de leur situation !"
Cette culpabilisation des personnes qui vivent des minimas sociaux est tout simplement insupportable. En réalité le RSA, solidarité envers ceux qui connaissent de grandes précarités, leur permet à peine de survivre. Elle est souvent vécue comme une honte : la moitié des ayants droits préfèrent ne pas recourir à ces allocations par peur du regard des autres, sans parler des obstacles administratifs.
La bonne réponse ne se trouve pas dans une obligation punitive, une culpabilisation mais plutôt dans une politique volontariste d’encouragement, d'aide à l'insertion.
Pour mémoire, les fraudes aux prestations sociales sont estimées à moins de 200 millions alors que la fraude fiscale représente plus de 60 milliards en France.
La vraie question est celle de l'emploi, et en la matière, la droite nous a montré à quel point ses solutions (qui continuent d'inspirer l'actuel gouvernement) enfoncent le pays dans le chômage de masse. La stigmatisation des bénéficiaires du RSA est un enfumage de plus pour masquer où sont les vrais responsables de cette situation.
le 25 février 2016
Vendredi 4 mars de 18h30 à 20h30
Au Toit du Monde à Poitiers
La Fraternité : un devoir moral au périmètre flou
le 25 février 2016
Vendredi 1er avril de 18h30 à 20h30
Au Toit du Monde à Poitiers
Altruisme et égoïsme entre nature et culture
le 25 février 2016
Vendredi 18 mars de 18h30 à 20h30
au Toit du Monde à Poitiers
la question animale et le propre de l'homme
le 24 février 2016
Certains médias célèbrent cet évènement en oubliant que c’est la Journée Internationale de luttes des femmes pour conquérir l’égalité. Ils sont nombreux à tenter de la transformer en une fête commerciale, louant LA femme idéale, entendez l’épouse dévouée, la mère attentive, la femme sexy….
Pourquoi, en 2016, dans un pays comme la France, les femmes vivent-elles toujours des inégalités criantes ? Bien sûr, les luttes menées ont permis de sérieuses avancées, des lois ont été votées, notamment en matière d’égalité professionnelle mais dans les entreprises, dans la sphère domestique, dans les institutions, les femmes gardent un statut subalterne.
Depuis 2012, les droits des femmes sont passés de ministère de plein exercice, à un secrétariat d’état avant que d’intégrer celui de la famille et de l’enfance ! Bel exemple de patriarcat au plus haut de l’état. Dans le même temps, François Hollande a choisi de mener une politique qui, loin de relancer l’emploi, instaure plus de précarité, de flexibilité et une hausse du chômage pour toutes et tous, fragilisant encore davantage la situation des femmes.
L’égalité, les femmes la conquièrent en gagnant autonomie financière, liberté de choix de procréation, éradication des violences, accès à tous les pouvoirs, partage des temps… Cela passe par la conquête de nouveaux droits mais également par une remise en cause, sans concession, des stéréotypes qui assignent femmes et hommes à un rôle prédéterminé au sein de la société. C’est le sens de l’exposition « L’égalité, mon œil » qui réunit de nombreuses artistes, du 8 février au 8 mars au CN.
Enfin, pour faire entendre toutes ces revendications, pour bâtir un monde de paix et de solidarité, nous marcherons le 8 mars à Paris avec les associations féministes, des organisations syndicales et politiques, car, pour nous, égalité rime avec liberté et émancipation humaine.
À 18h30, depuis la Fontaine des Innocents, à la Gare Saint-Lazare
le 24 février 2016
Le 3 mars à 19h
au cinéma TAP Castille
Projection de Les Filles
en présence de la réalisatrice Rébecca Sénéchal
La projection sera suivie d’une discussion avec la réalisatrice et l’équipe du film.
“Amour, travail, émancipation, engagement, à trente cinq ans, Rébecca s’interroge. Naïvement, elle aimerait en savoir plus sur le “ sens de la vie ” et sur la façon dont on “ fait des choix ”, tout particulièrement lorsqu’on est une femme. Dominique, Jeanine, Monique et Renée ont répondu à son annonce : “Réalisatrice recherche dames âgées de plus de 70 ans pour inventer ensemble, la vie d’une fille née en 1930. Mesdames, devenez scénaristes !” Pendant tout l’été elles se retrouvent et donnent vie à Suzanne : un personnage imaginaire aux état d’âmes plutôt réels.”
le 24 février 2016
le 24 février 2016
le 24 février 2016