le 09 novembre 2012
le 09 novembre 2012
PHOTO: Article de La République du Centre du Vendredi 9 Novembre
Mercredi, une délégation de 12 personnes a rencontré le Président de l'Agglo pour évoquer les problèmes rencontrés par les usagers et par les persponnels de Kéolis depuis la mise en place du nouveau réseau de bus. Des élus de Saran, de La Chapelle St Mesmin, de St Jean de la Ruelle, de Fleury-les-Aubrais, d'Orléans, des militants du PCF, des Jeunes Communistes et du PG, ainsi que des représentants d'usagers et des parents d'élèves composaient la délégation.
Après 2 heures d'échanges, ce qui ressort de cette entrevue peut-être résumé ainsi : l'enveloppe prévue ne sera pas rallongée donc s'il faut des "plus" pour améliorer la situation à certains endroits, il faudra aussi des "moins" à d'autres endroits pour rentrer dans le budget prévu. Autrement dit, on continue de déshabiller Pierre pour habiller Paul. M. Lemaignen est prêt à apporter quelques modifications sur certaines lignes mais que si le nombre de kilomètres et le coût reste les mêmes.
Nous avons également évoqué les problèmes rencontrés par les personnels de Kéolis et la dégradation de leurs conditions de travail. L'une des clés du bon fonctionnement du réseau c'est le personnel. Il faut savoir que depuis la mise en place de nouveau réseau, du fait des mauvaises conditions de travail, le nombre d'arrêts maladie a doublé et les chauffeurs ne sont pas toujours remplacés, c'est pourquoi certains voyages ne sont pas assurés. Il faut aussi ajouter à cela le manque de personnel, le manque de matériel, les pannes... Sur la question des conditions de travail des personnels, M. Lemaignen a botté en touche : comme c'est une DSP (délagation de service public), ces problèmes doivent se régler entre Kéolis et ses salariés. Nous lui avons rappelé que l'Agglo pouvait appuyer les personnels et pousser Kéolis à entendre leurs revendications.
Les élus communistes et républicains de l'agglomération orléanaise continueront leur mobilisation aux côtés des usagers, des parents d'élèves et des personnels pour faire entendre leurs revendications légitimes !
Lire l'article sur le site du pcf/Saran...
le 09 novembre 2012
Le PCF Alpes Maritimes s'associe à l'Union des Etudiants Communistes de Nice pour la diffusion du film "Mains brunes sur la ville". Ce film réalisé par Bernard Richard montre quelle est la gestion opéré par des élus d'extrême droite à travers l'exemple des villes de Orange et Bollène.
Pour nous accompagner durant cette diffusion nous recevrons la secrétaire départementale du PCF Vaucluse Fabienne Haloui qui est immergée dans les terres du couple Bompard et celles de Marion Maréchal Le Pen. Nous tenterons durant cette soirée de répondre à la question suivante : "Comment faire reculer l'influence de l'extrême droite?"
(Accès ligne 22 - arrêt Faculté des Lettres)
le 09 novembre 2012
Comme tous les ans, les associations, syndicats, partis, élus et citoyens qui souhaitent exprimer leur volonté d'un monde sans guerre et demander au gouvernement français de décider enfin de réhabiliter les fusillés pour l'exemple de 1914-18 se réuniront
Discours, drapeaux, banderoles, exposition et prises de parole.
Prennent habituellement la parole à cette manifestation (liste non exhaustive) : l'Alampac (Association laïque du monument pacifiste de Creil), l'ARAC (Association républicaine des anciens combattants), la LDH (Ligue des droits de l'Homme), le Cercle Condorcet, l'Union pacifiste, le Mouvement de la Paix, la LP60 (Libre Pensée de l'Oise) et les citoyens et élus présents qui le souhaitent…
Rappel sera fait des prises de position des trois conseils généraux de l'Aisne, l'Oise et la Somme pour la réhabilitation des fusillés pour l'exemple. Une adresse solennelle au conseil régional de Picardie sera faite pour qu'il émette un vœu semblable à celui du conseil régional de Champagne-Ardennes.
Un vin chaud est prévu en fin de manifestation.
le 09 novembre 2012
Projeté en avant-première au Festival international du film d'Amiens FIFA,
- réalisateur de « La mort en bout de chaîne » sur la lutte des Goodyear -
sera présenté
place Léon Gaultier
Les FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans - Main-d’œuvre immigrée) jouèrent un rôle essentiel au sein de la Résistance dont ils furent parmi les plus actifs et les plus déterminés. Beaucoup étaient de tout jeunes gens, d’autres plus anciens étaient issus des Brigades internationales qui avaient acquis dans le combat, l’expérience nécessaire pour mener cette lutte contre le fascisme.
S’ils étaient, en tant qu’étrangers, syndicalistes, engagés politiques, directement visés par le régime de Vichy et les nazis, leur engagement n’avait rien d’un choix par défaut.
A travers l’histoire du groupe Manouchian (Île de France) et des bataillons Carmagnole-Liberté (Lyon et Grenoble), ce documentaire revient sur les origines des FTP-MOI nés d’un long processus politique et social.
Au-delà du nécessaire devoir de mémoire, ce documentaire questionne notre présent.
Aujourd’hui, face au démantèlement systématique des acquis du Programme du Conseil National de la Résistance, face aux discriminations de toute sorte et à leur banalisation, face à la stigmatisation de « l’étranger », désigné comme le parfait responsable de tous les maux de notre société, comment ne pas s’interroger sur cette éternelle stratégie de la peur et sur le sens de toute résistance ?
Avec la participation d'Arsène Tchakarian (FTP, groupe Manouchian), Léon Landini (FTP, bataillon Carmagnole), Stéphane Hessel (Résistant, membre du BCRA), Henri Karayan (FTP, groupe Manouchian), Stéphane Hessel (Résistant, membre du BCRA), Dora Wajsbrot (sœur de Wolf Wajsbrot du groupe Manouchian), André Schmer (FTP, bataillon Liberté), Salomon Mossovic (FTP, bataillon Carmagnole), Katia Guiragossian (petite-nièce de Missak et Mélinée Manouchian), Benoit Rayski (fils d’Adam Rayski, MOI), Alya Aglan (historienne).
le 09 novembre 2012
L’ordre du jour :
L'assemblée générale se conclura par un vin d’honneur comme d’habitude !
le 09 novembre 2012
le 09 novembre 2012
le 09 novembre 2012
Il y a deux ans, le ministre de la défense du précédent gouvernement, Gérard Longuet, venu des rangs de l’extrême droite, avait conçu l’idée de transférer les cendres du général Bigeard aux Invalides. Une pétition, signée par 10.000 citoyennes et citoyens, fut pour beaucoup dans l’échec de cette provocation. Or, voici que le nouveau ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, remet sur pied un hommage de même nature, ce 20 novembre, avec une variante : le transfert de ces cendres au Mémorial de Fréjus, dédié aux combattants d’Indochine. Notre pétition était intitulée « Non à un hommage officiel au général Bigeard » : il fallait entendre : « Non à TOUT hommage ».
Aucun de nos arguments, en effet, n’est obsolète.
On nous présente encore et toujours cet officier comme un héros des temps modernes, un modèle d’abnégation et de courage, au mépris de tous les témoignages, de toutes les études historiques sérieuses. En fait, Bigeard a été un acteur de premier plan des guerres coloniales, un « baroudeur » sans principes, utilisant des méthodes souvent ignobles. En Indochine et en Algérie, il a laissé aux peuples, aux patriotes qu’il a combattus, aux prisonniers qu’il a « interrogés », de douloureux souvenirs. Aujourd’hui encore, dans bien des familles vietnamiennes et algériennes, qui pleurent toujours leurs morts, ou dont certains membres portent encore dans leur chair les plaies du passé, le nom de Bigeard sonne comme synonyme des pratiques les plus détestables de l’armée française.
Qu’un gouvernement élu par le « peuple de gauche » persiste dans ce projet laisse à penser que l’intervention citoyenne est plus que jamais nécessaire. Nous n’abandonnerons pas, en ce qui nous concerne, ce combat.
Non, décidément, NON, cent fois NON, à TOUT hommage au général Bigeard.
signez la pétition en cliquant ici
le 08 novembre 2012
Première contribution pour la fédération de l'Oise su PCF ! Elle est due à un tout jeune militant, 17 ans : tout un symbole !