La revue du projet

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Quelle place pour les associations dans la vie démocratique ?

le 20 octobre 2015

avec Jean-Claude Boual, président du Collectif des associations citoyennes (CAC).

Animation : François Auguste, membre du Comité du projet, responsable desrelations avec les associations

Débat : Finance... Solidaire ? de la théorie à l'action ! (Poitiers)

le 19 octobre 2015

Finance... Solidaire ? de la théorie à l'action !
Le jeudi 5 novembre à la Librairie La Bruyère Vagabonde (31, rue Edouard Grimaux à Poitiers)
A 18 h

Débat avec Sophie Nivoix et Gilles Caire, maîtres de conférences HDR respectivement en sciences de gestion et sciences économiques à l'Université de Poitiers, autour de la présentation de l'ouvrage "Entreprises solidaires, l'économie sociale et solidaire en questions" sorti en mai 2015.

Le 32! Café politique: L'enjeu du logiciel libre: maîtriser son informatique ou être maîtrisé par elle

le 18 octobre 2015

L'informatique est présente partout et son importance ne fera que croître. L'informatique ce sont nos ordinateurs bien entendu mais également nos téléphones, tablettes, consoles de jeu, voitures, nos services publics, nos outils de travail et de production... Elle fait plus que de piloter nos outils, elle permet de mesurer, évaluer, classer, prescrire nos comportements. Elle est un outil de pouvoir.

Face à ces enjeux, le Logiciel libre s'est donné comme objectif d'assurer la liberté de l'utilisateur et donc le pouvoir sur sa propre vie. Formalisé il y a 30 ans, il a été le précurseur en matière de libertés informatiques.

Cette conférence détaillera les principes essentiels du logiciel libre et les enjeux pratiques en termes de libertés informatiques afin de démontrer pourquoi le logiciel libre est une nécessité pour regagner du pouvoir sur nos vies.

Venez en débattre avec Luc Fievet, administrateur de l'April

Entrée libre

 

20151017-CP-Drucat-Ferme des Mille Vaches : la SCEA reste sereine

le 18 octobre 2015

20151017-CP-Drucat-Ferme des Mille Vaches : la SCEA reste sereine

20151016-LeP-Beauvais-Une soirée contre l'exclusion et la misère

le 16 octobre 2015

20151016-LeP-Beauvais-Une soirée contre l'exclusion et la misère

20151015-CP-Drucat-Mille Vaches : l'annonce d'une enquête publique agace

le 16 octobre 2015

20151015-CP-Drucat-Mille Vaches : l'annonce d'une enquête publique agace

Les luttes pour notre Sécurité sociale sont vitales !

le 15 octobre 2015

Les luttes pour notre Sécurité sociale sont vitales !

Les luttes pour notre Sécurité sociale sont vitales !

Rassemblement mardi 20 octobre 14h30 devant le siège de la CPAM à Toulon-La Rode

Depuis la création de la sécurité sociale il y a 70 ans, par Ambroise Croizat, ministre communiste du travail et de la Sécurité Sociale, le patronat n’a eu de cesse d’y porter des coups ainsi qu'aux militants luttant pour sa défense.

Hormis les attaques sur son financement et sur sa gestion antidémocratique, il y a une volonté de réduire au maximum les centres d’accueil, les derniers en date dans le Var sont les fermetures au public des antennes de La Valette et de Lazare Carnot à Toulon. A ce jour, dans le Var il ne reste plus que 6 antennes spécifiques CPAM pour accueillir le public, et uniquement sur rendez-vous.

Le projet de loi Touraine de financement de la Sécurité sociale pour 2016 ne s’attaque encore pas au réel problème. La crise du financement de la Sécurité sociale est due avant tout, entre autres, à un manque de recettes résultant de la destruction de l’emploi, du blocage des salaires et des retraites, des dizaines de milliards d’exonérations de cotisations sociales accordées au patronat.

Les propositions programmatiques du Parti Les Républicains, du Front National sont identiques. En préconisant la diminution du nombre de fonctionnaires et des dépenses de l’État ils participent aussi entièrement à la destruction des services publics. Nous refusons et combattons au quotidien ces politiques rétrogrades : moins de services publics c’est moins d’égalité et de solidarité, plus de difficultés pour ceux qui en ont le plus besoin.

La vraie réponse réside dans une réforme de fond du financement de la Sécurité sociale visant à favoriser l’emploi et la croissance et à élargir l'assiette de cotisation (dividendes, participation, intéressement,…). C’est ce débat là qu’il faut ouvrir, le seul qui permettra de sortir des logiques comptables et des restrictions budgétaires.

C’est ce modèle égalitaire et solidaire qu’il faut défendre, et reconquérir. Et nous considérons que la Sécurité sociale peut avoir les moyens de remboursements à 100 %.

La propagande révisionniste du gouvernement qui tend à rendre invisible Ambroise Croizat, signataire le 04 octobre 1945 de l'ordonnance créant la Sécurité sociale, bat son plein jusqu'au niveau des entreprises et particulièrement auprès des salarié-es des organismes sociaux.

Gilles Piazzoli, secrétaire de la section PCF de Draguignan, dans le cadre de son activité syndicale, a rétabli la vérité en répondant à un mél diffusé par sa direction. Son action pour la manifestation de la vérité lui a valu une convocation disciplinaire par son employeur (La MSA) !

Nous condamnons fermement cette atteinte grave à la liberté d'expression et syndicale, ce déni historique concernant le véritable inventeur de la Sécurité sociale.

La fédération Varoise du Parti Communiste soutient l'initiative du Comité de défense citoyen de la CPAM de la Valette ; est pleinement solidaire avec Gilles Piazzoli et appelle au rassemblement le mardi 20 octobre à 14h30 devant le siège de la CPAM à Toulon-La Rode.

La fédération du Var du Parti Communiste Français

La Valette du Var, le 15 octobre 2015

Terrorisme et Libertés

le 15 octobre 2015

avec Marion Lagaillarde, magistrate, membre du syndicat de la magistrature.

Animation Fabien Guillot-Bataille, du secteur République, démocratie, institutions du PCF

 

Les attitudes politiques et le vote des différents groupes sociaux

le 15 octobre 2015

par Henri Rey politiste, directeur de recherche au Centre de recherches politique à Sciences-Po (ex CEVIPOF - Centre d'études de la vie politique française)

Animation : Michel Maso (directeur de la Fondation Gabriel-Péri)

 

Front de gauche. Proposition capitale pour l’avenir de la SNCM

le 14 octobre 2015

Front de gauche. Proposition capitale pour l’avenir de la SNCM

Les élus soutiennent une entrée de la Région au capital. Objectif : contribuer à une offre de reprise sous la forme d’une société d’économie mixte.

Alors que le tribunal de commerce examine aujourd’hui les quatre offres de reprise de la SNCM encore en lice, jugées « toutes inacceptables » par les représentants du personnel au regard des dégâts sociaux qu’elles promettent, les élus du Front de gauche à la Région Paca lancent une proposition pour sortir de l’impasse.

Jean-Marc Coppola, Vice-Président PCF de l’institution annonce qu’ils seront : « aux côtés des salariés devant le tribunal » et qu’ils porteront vendredi dans l’hémicycle une motion « proposant d’engager les formalités nécessaires à la participation de la Région Paca à une offre de reprise de la SNCM auprès du Tribunal de commerce de Marseille, au côté d’un opérateur industriel sérieux, dans le cadre d’une offre globale préservant l’unicité de la compagnie et portant sur le périmètre social et industriel le plus large possible entre Paca, la Corse et le Maghreb, dans un cadre économique viable ».

Pour les élus du Front de gauche, cette participation serait proposée aux candidats et au Tribunal sous la forme d’une société d’économie mixte « dont l’actionnariat, au côté des salariés, serait majoritairement constitué avec la Région Paca, la collectivité territoriale de Corse si elle le souhaite, et d’autres collectivités qui pourraient être intéressées au devenir de la SNCM, telles que la Ville de Marseille et le Conseil départemental des Bouches-du-Rhône ». Ce schéma, approuvé par Pierre Dharréville et de Michel Stefani, respectivement responsables du PCF dans les Bouches-du-Rhône et en Corse est pour eux « le seul projet d’avenir garantissant l’emploi et le service public de continuité territoriale ». C’est pourquoi ils insistent : « le Tribunal de commerce de Marseille doit prolonger la période de redressement judiciaire pour permettre l’émergence d’une solution publique dans l’intérêt général ».

Un enjeu démocratique

Cela fait bientôt un an que la compagnie est en redressement. Un entre-deux insupportable pour les salariés mais aussi la preuve selon Jean-Marc Coppola que la SNCM « malgré la mauvaise réputation qui lui ait faite, est une entreprise viable qui a des rentrées d’argent, une trésorerie… »

Également co-tête de liste de la Région coopérative avec Sophie Camard (EELV), Jean-Marc Coppola portera cette proposition dans la campagne. De quel œil voit-il celle de son rival LR Christian Estrosi, de créer un Fonds d’investissements pour les entreprises de la Région pouvant entrer au capital ? « Je me souviens de qui a été à l’origine de la privatisation de la SNCM », indique-t-il en préambule avant de poursuivre : « je souhaite que notre motion soit soutenue le plus largement. Nous verrons vendredi, chaque groupe politique est désormais face à ses responsabilités ».

Devant les 3.000 emplois liés à l’activité de la SNCM, menacés par sa disparition ou sa vente à la découpe, l’élu communiste ne veut pas en faire un enjeu « électoraliste » mais de démocratie. Avec une question en toile de fond : le politique a-t-il encore les moyens de défendre l’intérêt général ? Jean-Marc Coppola en est convaincu : « oui nous le ferons avec une véritable majorité de gauche en Paca et en Corse avec Dominique Buchini, c’est la raison pour laquelle nous nous battons ».

Léo Purguette (La Marseillaise, le 14 octobre 2015)