La revue du projet

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Quelle bouffée d'oxygène avec la Journée à la mer ! - Dieppe, 20 août 2016

le 21 août 2016

Quelle bouffée d'oxygène avec la Journée à la mer ! - Dieppe, 20 août 2016

Encore un belle édition de la Journée à la mer proposée par les communistes de l'Oise dans le cadre du droit aux vacances pour toutes et tous !

1 600 personnes, transportées par 27 cars dont 2 partis de Gisors dans l'Eure et 1 de Chauny dans l'Aisne, ont participé à cette initiative de solidarité concrèté et de bonheur partagé, marquée par les 80 ans du Front populaire et des grèves qui avaient permis la conquête des congés payés et du droit au temps libre. Cet anniversaire méritait bien un accueil en musique, pour la première fois, avec le très apprécié trio Lahase ainsi que la réalisation d'une nouvelle banderole, accrochée à un symbole des vacances, la caravane !

Nos amis dieppois avec leur maire PCF Sébastien Jumel nous ont réservé une nouvelle fois un très bel accueil, comme ils le feront un peu plus tard dans la matinée pour 4 cars venus d'Allonnes, accompagnés de camarades sarthois et du maire communiste Gilles Leproust.

Les participants ont pu bénéficier des multiples activités qu'offre Dieppe : marché, fête foraine, magasins, entrées gratuites au Château-Musée et au Mémorial du 19 août 1942, ou de tarifs réduits à l'Estran-Cité de la Mer, tour en bateau… Et la mer bien entendu !

Cette grande journée fut aussi l'occasion de discuter et donner la parole aux participants, avec le questionnaire citoyen s'inscrivant dans la Grande consultation citoyenne lancée par le PCF sur le plan national, sous le titre « Que demande le peuple ? », pour définir ce que devrait être les grandes lignes d'un programme populaire pour 2017. Au moins 400 questionnaires ont été recueillis dans les cars et beaucoup disaient leur satisfaction de voir que « pour une fois, on leur demandait leur avis ! ».

Cette sortie avait une fin, et après avoir repris des forces avec les sandwiches préparés par les camarades du Valois et de Compiègne, il était temps de regagner les cars. Les tous derniers partants, après une courte averse, ont pu profiter du spectacle d'un double arc-en-ciel pour clôturer cette visite de Dieppe.

À l'année prochaine !

Avant cela, rendez-vous à la Fête de l'Humanité, autre grand moment populaire, festif et politique, avec des cars affrétés par le PCF Oise au départ de l'Oise.

Et quelques jours plus tard, dans les manifestations du 15 septembre pour le retrait de la loi El Khomri. La CGT Oise était d'ailleurs présente avec des cartes postales à envoyer au président Hollande pour lui dire « Je prends mes congés… On se retrouve à la rentrée », qui ont été largement signées.

 

Partagez ces jolis moments avec, sur cette page internet, les photos de Catherine (Montataire), Claude, Hélène (Valois), Laurence (Beauvais), Thierry et Yvette.

 

20160817-CP-Amiens-Zoom sur « La rue des allocs »

le 17 août 2016

20160817-CP-Amiens-Zoom sur « La rue des allocs »

20160817-CP-Fort-Mahon-Le burkini bientôt interdit en Picardie ?

le 17 août 2016

20160817-CP-Fort-Mahon-Le burkini bientôt interdit en Picardie ?

Faire triompher sur la barbarie la force de l’humanisme, la solidarité et la fraternité (Déclaration du PCF Corse)

le 16 août 2016

Les événements graves qui ont eu lieu ces deux jours mettent en relief le danger qui fissure à présent le lien social et déstructure la société.

Plus que jamais les valeurs républicaines essentielles, qui fondent le respect de tout être humain, quelles que soient ses origines, sa croyance ou son incroyance, doivent prévaloir.

La devise de Liberté d’Egalité de Fraternité comme la laïcité demeurent au cœur de cette affirmation le support intangible qui permettra de faire barrage à la haine, à la stigmatisation, aux affrontements et à la vengeance.

Le contexte national et international, après les attentats terroristes du groupe EI, donne à certains la justification d’actes ou de comportements inacceptables et condamnables du point de vue démocratique et absolument opposés au vivre ensemble.

C’est là le piège qu’il faut éviter en faisant triompher sur la barbarie la force de l’humanisme, la solidarité et la fraternité.

Bastia le 15 08 2016

UN VÊTEMENT PAS COMME LES AUTRES

le 16 août 2016

UN VÊTEMENT PAS COMME LES AUTRES

Par Amar BELLAL

Assez perplexe face à certains arguments tentant de relativiser le phénomène « burkini » en tentant de comparer cette pratique avec des tenues de plongée, ou cherchant à banaliser cette pratique en qualifiant cette tenue de « vêtement comme les autres » comme l’affirme Edwy Plenel par exemple.

D’un côté il y a une nécessité physique et pratique (protéger et réchauffer son corps lors de la plongée) et de l’autre côté on a un phénomène nouveau dans l’espace public, et dont je pense qu’elle n’a rien d’anodin, rien à voir avec un fait culturel ou autre du à l’arrivée de populations nouvelles, mais plutôt à voir avec une démarche politique de revendication.

Dans les années 80-90 il y avait ce qu on peut appeler la première génération, les premiers français issus de parents « musulmans » (en gros, l’ Afrique du Nord, ceux qu’on englobe par le terme « arabe »). A l’époque, pas de Burka, je n ai jamais entendu parler de Burkini, et jamais personne dans mon entourage parmi les parents immigrés, et encore moins leur gosses, n’auraient eu un jour l’idée d avoir cette pratique, et pis, revendiquer de pouvoir l’avoir dans l’espace public. Il y avait plus ou moins (et souvent pas du tout!) tout au plus des pratiques de ramadan, de prières, mais la priorité c’était de s’insérer, de se faire accepter pour le dire vite, de s’intégrer par l’école entre autre, en étant conscient aussi qu’on vivait dans un pays avec une longue histoire, des traditions etc… Au collège on avait droit par exemple à un menu sans porc (au choix), et d’autres signes montraient qu’il y avait un vrai retour, un effort des institutions républicaines qui savaient s’adapter à des populations nouvelles: j’oserais dire que la France a pratiqué une laïcité ouverte, bienveillante on va dire.

Il faut rendre à César ce qui appartient à César.

Cela fonctionnait aussi car il y avait le pari de l’intégration et de « donner du temps au temps », pour les futurs générations. Je ne cache pas que je suis un pur produit de cette école républicaine et c’est aussi pour cela que je défend les valeurs républicaines et de laïcité, et notre système  éducatif (lourdement attaqué, je le sais…) dans ce qu’elles ont de meilleur. Bien-sûr il y avait du racisme, des discriminations à l époque, et encore maintenant…Mais il y a aussi beaucoup de bienveillance et de personnes formidables en France comme mes professeurs qui dans leur écrasante majorité nous encourageaient.

Ce qui m ‘interpelle aujourd’hui hui, c’est que 20-30 ans plus tard, en 2016, on en est à des revendications incroyables de type Burka et Burkini. Il est clair que cela ne peut pas venir des premiers arrivants ouvriers comme mes parents ni même de la première génération de français, mais bien de la 2ème voir 3ème génération, parfois de convertis qui ne sont pas du tout d’origine immigré. C’est donc une démarche qui est apparue en France et non pas importée par la culture des immigrés des années 60-70…rien à voir non plus avec un fait culturel massivement partagé par l’arrivée de populations nouvelles, mais bien le fait d’une minorité avec une démarche clairement politique et prosélyte. Disons le clairement, l’écrasante majorité des musulmans en France ressentent ces revendications comme une provocation inutile et dangereuse pour elle même : en effet, c est pain béni pour le FN ce genre de revendications, et le FN, ses idées, sont la première menace. Parfois quand j’entends les arguments de certains tendant à relativiser ces pratiques, croyant ainsi défendre les musulmans, je me dis qu’on se passerait volontiers de ce type de défense…on a même envie de leur dire : « …svp…taisez vous… ».

Si vraiment on veut défendre le vivre ensemble, avec le fait culturel musulman qui est maintenant une réalité en France, il faut clairement combattre, et ne pas leur trouver la moindre circonstance atténuante, ces prosélytes d’un mode de vie venu d’un autre âge, et que nous ne partageons pas.

AB

20160813-CP-Picardie-Le boom de la vidéosurveillance

le 14 août 2016

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20160813-CP-Picardie-Les congés paternité ont quinze ans

le 14 août 2016

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Vente Solidaire de fruits et légumes à prix coûtant de 8h à 12h Paris Place de la Bastille

le 12 août 2016

20160812-CP-Saint-Quentin-La misère est-elle moins pénible au soleil ? (5/5) [édition Saint-Quentin]

le 12 août 2016

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Communiqué du Maire de Septèmes les Vallons suite aux incendies des Bouches-du-Rhône

le 11 août 2016

Communiqué du Maire de Septèmes les Vallons suite aux incendies des Bouches-du-Rhône

Nous venons de vivre un terrible épisode d’incendies, comme nous n’en avions plus connu depuis très longtemps.

Fort heureusement, ces incendies n’ont pas touché notre commune alors même que, comme j’ai pu le constater sur place avec Arthur Mélis, le Vallon de la Gazelle et les Castors étaient situés sur le parcours du feu qui s’est déclaré sur la commune voisine des Pennes-Mirabeau.

Nous le devons à nos pompiers, marins et sapeurs, aux forestiers-sapeurs, aux bénévoles du Comité communal des feux de forêts, qui se sont mobilisées cette nuit pour lutter contre le feu. Ils ont encore une fois payé un lourd tribut.

Nous le devons aussi à la police nationale, la police municipale et à toutes les personnes qui, d’une façon ou d’une autre, se sont impliquées dans ce combat contre les flammes et ont tout fait pour en atténuer les conséquences. Sans eux, sans leur détermination et leur courage, cela aurait pu être bien pire.

Je veux les en remercier au nom de tous les Septémois.

Je veux aussi adresser mon soutien à tous les habitants des communes sinistrées, ainsi qu’à leurs élus.

Même si, cette fois, nous en avons été épargnés, l’incendie demeure un risque majeur et tout doit être fait pour le réduire au maximum. Cela passe par le comportement responsable de chacun dans ses gestes quotidiens. Cela passe également par le respect strict des obligations légales de débroussaillement, ainsi que par des politiques publiques de valorisation et d’entretien de nos forêts et de leurs accès.

André Molino

Maire de Septèmes les Vallons